Claudia Morin

REPRISE SEUL DANS BERLIN ?

de René Fix librement adapté de SEUL DANS BERLIN de Hans Fallada

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SUCCÉS, REPRISE

SEUL DANS BERLIN ? de René FIX librement adapté du roman Seul dans Berlin de Hans FALLADA mise en scène Claudia MORIN

L'histoire de ce modeste couple berlinois qui osa affronter Hitler avec de simples cartes postales a trouvé ici, au Lucernaire, un écho magnifique. Dans le roman choral de Fallada, les Quangel évoluaient dans la monstrueuse galaxie du désastre nazi. Au théâtre, le public nous a confirmé que la lutte farouche et dérisoire des Quangel possède la puissance tragique d'un drame moderne.

René Fix

TÉLÉRAMA SORTIR 3341 – 22/01/2014 … « La mise en scène de Claudia Morin, qui joue aussi l’épouse est sobre » ... … « Marc-Henri Boisse fait percevoir avec intensité et justesse le chemin d’un homme, de la soumission à la résistance intérieure, puis à l’héroïsme. Le spectacle, malgré l’aspect tragique de la situation, donne espoir et moral. » - Sylvaine Bernard-Gresh

LE NOUVEL OBSERVATEUR - 30 janvier 2014 n° 2569 … « L’histoire – vraie – d’un couple d’ouvriers berlinois qui entrent en résistance contre le führer qui a pris la vie de leur fils. Touchant. »… - Odile Quirot

CRITIQUES/THÉÂTRE WEBTHEA.COM – 17 février par Gilles Costaz … « Claudia Morin a conçu une mise en scène minimale, d'une simplicité poignante. Elle joue elle-même l'épouse saisie par l'angoisse, la douleur, l'incertitude : un jeu sobre qui trouve la vérité populaire du personnage. Marc-Henri Boisse incarne Otto dans une égale et grande vérité »...

LA TERRASSE – Théâtre – Critique – 23 janvier 2014 – n° 217 ... » Dans un décor minimaliste, Marc-Henri Boisse et Claudia Morin campent avec pudeur et justesse ces deux modestes résistants et offrent une vibrante leçon de vie et de morale. »… - Catherine Robert

FIGAROSCOPE – semaine du mercredi 22 au 28 janvier 2014 « Comment lutter contre la barbarie nazie quand on est allemand, qu'on a pas d'armes et que l'on est vieux ? La pièce de René Fix, tirée du roman de Hans Fallada, est très prenante, très émouvante. Avec trois comédiens au mieux de leur métier : Claudia Morin, Marc-Henri Boisse, Jean-Paul Dubois. » Jean-Luc Jeener

DES CARTES POSTALES CONTRE LE FÜHRER : Est-ce si dérisoire ? Jeudi 9 janvier 2014-01-31 par Florence Gopikian Yeremian – Bscnews.fr/ … » Une adaptation théâtrale émouvante et sensible qui pose au public une grande question morale : et vous, qu’auriez-vous fait en temps de guerre si vous refusiez l’exil, le silence et la compromission ? »…

THÉÂTRE DU BLOG – 1er février 2014 … « Belle interprétation de Marc-Henri Boisse et de Claudia Morin, justes, émouvants, sans que l’intelligence y perde. C’est un bon spectacle, à la fois modeste et ambitieux, qui dit bien ce qu’il a à dire. » - Christine Friedel

Du 2 avril au 18 mai 2014 Du mardi au samedi à 21h30, le dimanche à 17h

Théâtre Le Lucernaire 53 rue Notre Dame des Champs 75006 Paris RESERVATION au 01 45 44 57 34 et sur www.lucernaire.fr

SEUL DANS BERLIN ?

Du 8 janvier au 1er mars 2014 Du mardi au samedi à 18h30 Théâtre le Lucernaire 53 rue Notre Dame des Champs 75006 Paris

RESERVATION au 01 45 44 57 34 et sur www.lucernaire.fr

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PRÉPARATION D'UN NOUVEAU SPECTACLE

SEUL DANS BERLIN ? de René FIX d'après « Jeder stirbt für sich allein » (Seul dans Berlin) de Hans Fallada

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LECTURE

SEUL DANS BERLIN ?

de René FIX d’après le roman de Hans Fallada

“Jeder stirbt für sich allein” (Seul dans Berlin)

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LE DOSSIER CADIGNAN

de René FIX

Enquête théâtrale à partir des SECRETS DE LA PRINCESSE DE CADIGNAN d'Honoré de BALZAC

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UNE PETITE DOULEUR

d'Harold Pinter
traduction de René Fix
mise en scène de Claudia Morin

avec
Claudia Morin, Jean-Gabriel Nordmann, Alain Roland.

46 représentations de mars à mai 2007 à Paris et en région parisienne

Les Comédiens

Claudia Morin : Flora

Jean-Gabriel Nordmann : Edouard

Alain Roland : Le Marchand d'allumettes


Par une somptueuse matinée d’été toute imprégnée des odeurs de fleurs, Edouard et Flora prennent leur petit déjeuner. C’est le premier jour de l’été et tout semble devoir être agréable et heureux. Pourtant une guêpe intruse se glisse dans le pot de confiture. Il faut la tuer... Cette belle journée commence par un meurtre.

Une angoisse, d’abord sourde, puis de plus en plus violente, assaille Edouard. Une petite douleur à l’œil sans conséquence semble la déclencher. Mais non, ce n’est pas ce petit bobo qui le préoccupe mais bien la présence d’un marchand d’allumettes qui se tient depuis des semaines derrière la grille arrière de son jardin. Qui est-il ? Que vient-il faire là ? Pourquoi vend-il des allumettes sur un chemin que personne n’emprunte ?

Le marchand devient le support de toutes les angoisses refoulées d’Edouard qui l’observe avec terreur de la fenêtre de la maison donnant sur l’arrière du jardin. Il faut tirer cela au clair, le faire venir et lui parler. Mais l’homme se tait, Edouard ne tirera de lui que rire et larmes.

Harold Pinter, d’une situation quotidienne et banale, crée un univers singulier à la fois comique et étrange. La logique d’Edouard dérape face au mutisme du vieil homme. Point d’issue pour cet intellectuel enfermé dans son monde clos et cadenassé.

Flora, l’épouse fidèle, quant à elle, se livre à une divagation amoureuse. Les vêtements boueux du marchand ne lui rappelle-t-il pas le viol dont adolescente elle a été victime ? Mais sans doute ce souvenir est-il excitant à raconter à l’inconnu ?

Harold Pinter nous engage sur des pistes, toutes vraisemblables. Il nous donne des indices, comme s’il s’agissait d’un roman policier. Aucun ne nous mènera vers une compréhension claire de ce qui advient à ce couple qui nous ressemble tant. Le mystère et le questionnement nous tiennent en éveil pendant toute la pièce.

C’est à un jeu d’esprit brillant et étrange que l’auteur nous convie. Mêlant l’absurde, l’humour et le sentiment du tragique de l’existence, Harold Pinter mène sans faille cette Petite Douleur jusqu’à sa conclusion imprévisible.

Claudia Morin

Extraits de presse

... C'est tellement fragile, une réputation chèrement acquise. Cela tient à quoi, l'identité ?
Au regard de l'autre, peut-être. Celui de Claudia Morin, limpide, dans sa mise en scène
dépouillée, nous aide à voir.
Bernard Thomas - Le Canard enchainé.

... Les trois comédiens sont excellents. Claudia Morin elle-même, mais aussi
Jean-Gabriel Nordmann et Alain Roland dans un rôle pourtant muet ...
Jean-Luc Jeener - Figaro Scope.

... On retrouve les thèmes centraux que Pinter a développé tout au long de son oeuvre.
Les rapports de domination dans le couple et dans les relations sociales, l'affrontement
dominant, dominé. Cette oeuvre de jeunesse, sur la scène du Théâtre Mouffetard est vraiment
servie par un trio de comédiens remarquables : Claudia Morin qui a aussi assuré la mise
en scène, Jean-Gabriel Nordmann qui porte la pièce et puis Alain Roland le marchand
d'allumettes mutique mais qui en dit pourtant long sous les insultes d'Edouard ...
Ariane Bouissou - France-Info.

... Claudia Morin a judicieusement choisi une scène dépouillée, réduite à l'essentiel,
en surplomb et où trône la table du déjeuner, sans autre décor, ce qui resserre
l'ambiance autour du couple. Les césures prolongées de ténèbres qui séparent les scènes
contribuent à accroître ce climat d'angoisse.
Elle, Claudia Morin, est altière; c'est une dame dans son rôle, dont le jeu atteste
d'une force de présence rare - présence d'une femme qui fascine davantage que si
on l'avait rendue faible, victime étouffée par son mari et son passé, mari avec qui
elle contraste justement : sa force est authentique devant celle d'un homme qui
risible, dérisoire, tente d'en imposer. Sur ce point, Jean-Gabriel Nordmann est
continuement dans le bon ton ...
Samuel Vigier - lelitteraire.com

Ardu mais magnifique :
... J'ai adoré le jeu de scène et d'acteurs avec une mention toute spéciale pour le
personnage silencieux. Il n'est nul besoin de mots pour comprendre les sentiments
conflictuels qui l'animent. C'est vraiment une réalisation magnifique ...
au-Théâtre.com

















LE SPECTACLE DE TROP ?

de René Fix
mise en scène de René Fix
avec Claudia Morin
Le Spectacle de trop ?
a été crée à Caen en février 2004,
puis joué plus d'une dizaine de fois à Paris et en Province.

Reprise en octobre/novembre 2008 au Théâtre de L'Épée de bois à la Cartoucherie de Vincennes.



Une femme seule en scène, nous parle de son théâtre. Ce soir elle n'est plus comédienne, metteur en scène, mais simplement une femme qui veut savoir pourquoi son prochain spectacle n'aura pas lieu ? Pas de fictions, pas de personnage mais la confession intime et lucide d'une femme qui va dresser le spectacle d'un théâtre contemporain que l'on aimerait encore croire public.

Le Spectacle de trop ? n'est pas une nouvelle proposition militante, encore moins le manifeste d’une équipe de création qui entend refaire et refaire le monde du théâtre. Il s’agit plutôt d’une tentative (non-spectaculaire) pour aller au delà de l’illusion du théâtre et de la théâtralité. Une comédienne va interpréter un texte écrit pour elle, sans le subterfuge d’un personnage. Il n’y a plus de séparation entre la comédienne, le personnage, la confession et le théâtre. A l’heure où se pose plus que jamais la question de l’artiste dans notre société, Le Spectacle de trop ? amorce un débat, met des corps derrière des mots et propose de regarder en face les méfaits d’une politique qui aurait perdu le sens du théâtre public. L’heure n’est plus aux cris, à la dénonciation mais à l’observation attentive de ce que pourrait être aujourd’hui le théâtre. Derrière ces mots, derrière ces combats on oublie trop souvent la lutte quotidienne de ceux qui les font vivre. Le Spectacle de trop ? entend réparer cette injustice et donner, pendant une heure, la parole à une femme qui depuis des années a fait du théâtre sa famille et son combat.
René Fix

LA PROFESSION DE MADAME WARREN

de Georges-Bernard Shaw
nouvelle traduction de René Fix
mise en scène Claudia Morin
avec
Gilbert Beugniot, Samuel Bonnafil, Damien Ferrette, Claudia Morin, Alain Rolland et Julie Timmermann.
Représentations du 27 mars au 12 mai 2001 au Théâtre 14 - Jean-Marie Serreau



Julie Timmermann et Claudia Morin

L'oeuvre de G.-B.Shaw est une fable prémonitoire sur notre époque. Mme Warren qui tient des maisons dans toute l'Europe est avant tout une femme d'affaires, et si l'objet de son activité n'est pas recommandable, Shaw nous dit qu'elle n'est, réflexion faite, ni plus ni moins défendable que celles des exploiteurs de toutes sortes, propriétaires d'immeubles insalubres, ou directeurs d'usines. Avec la lucidité, le mordant et le refus absolu de toute sentimentabilité qui le caractérisent, Shaw dessine à grands traits un monde où nous pouvons nous reconnaître. A la fois cruelle et drôle, la pièce trouve aujourd'hui sa véritable dimension alors que nous entrons dans l'ère d'un capitalisme mondial.


EXTRAITS DE PRESSE
La Profession de Mme Warren est d'une incroyable modernité. Le dimension provocante et scabreuse de l'oeuvre est surtout ici prétexte à une réflexion sur l'argent, le capitalisme, le pouvoir de l'homme sur l'homme, le féminisme.... Claudia Morin, aidée par une excellente adaptation de René Fix, rend bien tous ces aspects, elle joue elle-même très proprement difficile de faire plus quand on se dirige soi-même le rôle de la mère indigne. Une pléiade de bons comédiens, La jeune première Julie Timmermann est parfaitement crédible, est même à certains moments excellente. Un spectacle qui rend intelligent et heureux.
LE FIGARO

La Profession de Mme Warren qui nous est présentée au Théâtre 14, est une bonne surprise. C'est une oeuvre d'une rare modernité cela tient peut-être aussi à l'adaptation de René Fix Claudia Morin, dont on connaît le courage et le talent, met en scène l'oeuvre avec sa probité habituelle. Elle est servie par des comédiens qui jouent très justement. Un spectacle intelligent et agréable.
Jean-Luc Jeener LE FIGARO 21 avril 2001.

Claudia Morin, metteur en scène de cette très bonne pièce et superbe incarnation de Mme Warren, femme à la fois perverse en société et terriblement attachante, quand elle est face à sa fille. Elle, c'est Julie Timmermann, qui campe avec talent l'un de ces personages dénués de toute sentime,tabilité qui peuplent le théâtre de George-Bernard Shaw. Drôle et impertinent.
M.V. L'EXPRESS 12 au 18 avril 2001

''Excellente idée, qu'a eue Claudia Morin, d'exhumer ce texte peu joué de Bernard Shaw, qui fut un objet de scandale au début du siècle dernier, mais qui vaut mieux qu'une simple curiosité et n'a rien perdu de son
mordant !.''
VALEURS ACTUELLES

LES AFFINITÉS ÉLECTIVES

de GOETHE
adaptation de René Fix
mise en scène de Claudia Morin
avec
Claudia Morin et Philippe Caulier
Représentations de 1er novembre 2000 au 6 janvier 2001 au Théâtre du Lucernaire


Claudia Morin et Philippe Caulier

Les Affinités électives n'est pas un roman alchimique, encore moins la brillante narration d'une société libérale et libérée ; le roman de Goethe est avant tout la description infaillible d'un drame. Sur scène, un couple et non le quatuor final du roman. Car les Affinités électives c'est l'histoire de Charlotte et d'Edouard ; les autres protagonistes ne sont que des révélateurs.
Gardons-nous de toute morale pour nos contemporains, préservons-nous de toute récupération. Prêtons juste une oreille attentive à ces mots d'hier qui illustrent si bien notre silence d'aujourd'hui. Si l'on ne saurait véritablement être l'artisan de son bonheur ou de son malheur, il reste peut-être l'amer plaisir d'en être le metteur en scène.
Le théâtre mettra en culture l'histoire d'Edouard, de Charlotte, mais aussi celles d'Odile et du Capitaine. Toutes ces métaphores scientifiques ne sont que le prolongement du fantasme goethéen initial. Nul vaccin, nul antidote en jeu : le philtre de l'amour ne connaît pas de contre-poison et l'amour qui frappera nos rentiers nous révèlera une fois encore la puissance de ses feux, les ravages de sa foudre.
René Fix, septembre 1999.

EXTRAITS DE PRESSE
Fine adaptation d'un roman d'une étonnante modernité. Il s'agit là, et simplement, de passion, de désir et de liberté...
ZURBAN, 15 novembre 2000

Le public ne peut que remarquer la justesse de ton et la qualité de l'interprétation de Philippe Caulier et Claudia Lorin, qui forment un duo d'acteurs de premier plan. L'un de leurs mérites, et non des moindres, est de donner l'irrésistible envie, une fois le rideau tombé, de se plonger dans la lecture du roman de Goethe
M interactif : LE MONDE

On ne peut que saluer le jeu des acteurs : tour à tour personnage, narrateur et animateur de silhouettes en carton, ils interprètent avec la justesse de ton nécessaire leurs différents rôles
PARIS AVENUE avec LE FIGARO : 15 novembre 2000

Claudia Morin, à la fois metteur en scène et actrice apporte toute la sincérité nécessaire à la pureté de cette oeuvre. Remarquable conteuse,elle sait tenir le spectateur en haleine
FRANCE CULTURE

NOCTURNE POUR UN POÈTE ou JEAN RACINE PARMI LES SIENS

de René FIX
mise en scène de Claudia Morin
Représentations du 12 au 17 mars 1999 au Théâtre du Vésinet
puis du 29 au 13 juin au Musée National des Granges de Port-Royal à Magny-les-Hameaux
et le 6 août à Monaco



Représentation au Théâtre du Vésinet